Vivre en élans,
c’est avancer sans s’épuiser,
et retrouver chaque jour le souffle de se sentir vivante.
Vivre en élan, c’est quoi?
C’est ce moment où tu respires à nouveau.
Où tu retrouves ton rythme — pas celui qu’on t’impose.
Où tu avances parce que tu en as envie,
pas parce qu’il le faut.
À 50 ans, vivre en élans,
c’est choisir d’avancer avec conscience,
avec envie,
et avec respect pour ce que tu ressens — vraiment.
C’est retrouver, jour après jour,
l’élan de te sentir vivante.
Ce que j’ai compris en chemin
Je n’ai pas trouvé l’élan dans la performance, mais dans la simplicité.
Pas dans les grands bouleversements, mais dans les petits pas répétés.
Pas dans l’attente que tout change, mais dans la manière de regarder ce qui est là.
👉 Trois enseignements qui m’accompagnent :
- L’élan ne se décrète pas, il se nourrit.
- Les petits pas comptent autant que les grands.
- Quand on suit son rythme, on avance plus loin.
Alors à presque 50 ans, je ne choisis pas d’être forte.
Je choisis d’entretenir l’élan.
Celui qui me permet de me sentir vivante, chaque jour.
Philosophie en 4 mouvements
Mon chemin s’est dessiné autour de quatre mouvements, comme quatre piliers intérieurs :
Se reconnecter
Revenir à soi. Au corps. Aux sensations. À l’instant.
C’est souvent là que tout commence.

Nourrir
Ce qui soutient, ce qui fait du bien sans user.
L’élan ne se décrète pas. Il se cultive.

S’aligner
Choisir ce qui compte vraiment. Et laisser le reste.
C’est faire de la place à ce qui a du sens. Un tri intérieur. Un ajustement délicat. Une lucidité joyeuse.

Oser
Avancer pas à pas, même petit, même fragile
Oser, c’est choisir un mouvement qui vient de l’intérieur. Même simple. Même invisible aux yeux des autres.
C’est se donner la permission. Et y aller.
