Il y a un moment où la vie s’allège.
Pas parce qu’elle est parfaite,
mais parce qu’on sait mieux ce qui compte.
À cinquante ans, les cases sont moins nombreuses à cocher.
Les enfants sont grands, le travail tient debout, les relations trouvent leur rythme.
Alors il reste… de l’espace.
Et dans cet espace, la joie s’invite plus facilement.
Un fou rire au téléphone.
Un projet choisi par goût, pas par contrainte.
Une balade qui finit en apéro imprévu.
Rien d’extraordinaire — mais tout est plus vivant.
Parce que je n’attends plus l’autorisation.
Parce que je n’ai plus besoin d’accumuler.
Parce que la joie, maintenant, je la crée moi-même.
C’est ça mon leap of joy :
oser dire oui à l’instant,
et sentir qu’il suffit parfois d’un rien pour que tout vibre.
La cinquantaine n’est pas une crise.
C’est une saison où l’on récolte assez de sérénité… pour laisser la joie bondir librement.
Vivante, joyeuse, légère… la cinquantaine c’est vibrer encore.
Miryana
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